Le lit des mariés est recouvert de roses blanches (longtemps à l’avance, il y a pensé). Voilà qu’il chante, doucement, a rose is a rose is a rose is… et l’entraîne pour trois pas de danse. La mariée attend qu’il la regarde et la mette à nu, qu’il s’émeuve des sous-vêtements d’une nuit. Mais il a trop bu. Il tombe et l’entraîne dans sa chute sur le lit aux roses, et sombre, avant d’avoir eu le temps de dénouer les boutons de la robe. Elle n’ôtera pas sa robe de mariée (seule, n’y parviendra pas, au moins rester contre lui). Ils sont mariés à présent. Rien ne peut plus les séparer. Rien ne peut plus les séparer. À présent ils sont mariés … (page 59)